Sur des Breizh ardentes de Stanislas Petrosky

Hey hey les geekos, aujourd’hui je viens vers vous avec un polar humoristique. Il s’agit de « Sur des Breizh ardentes » de Stanislas Petrosky qui sort aujourd’hui aux Editions Eaux Troubles.

L’Église est pauvre, ce n’est pas à toi que je vais l’apprendre.

Alors quand un dénommé Laurent Gérard lui lègue sa fortune au moment de son décès, crois-moi qu’elle apprécie.

Ce qu’elle apprécie moins, c’est de se faire spolier l’héritage !

Voilà pourquoi je déboule en Bretagne sous la couverture d’un aide-soignant dans un EHPAD où les résidents meurent plus que de raison !

Entre légendes Celtes et une belle rousse incendiaire, j’ai de quoi faire dans ce roman !

Suis-moi, on y va…

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 #SurdesBreizhardentes #NetGalleyFrance

Vous vous souvenez sans doute que j’avais eu un coup de cœur pour « Je m’appelle Requiem et je t’… » de l’auteur et que je vous disais à quel point j’étais impatiente de retrouver Estéban qui n’est autre que Requiem. Eh bien, ça a été des retrouvailles vraiment au top. Quel charmeur ce Requiem ! Il a encore une fois su conquérir mon cœur ! Il sait y faire sérieusement !

Notre Requiem a beau être curé, nous allons le retrouver en soignant infiltrant une maison de retraite et j’ai vraiment adoré ça. Quelle originalité ! J’ai trouvé que ce roman avait encore un plus comparé à « Je m’appelle Requiem et je t’… », même si on y retrouve quasi les mêmes ingrédients. Concernant Requiem, il n’a pas changé, il ne se prend pas une minute au sérieux et qu’est ce que j’ai ri à certaines de ses répliques. On imagine tellement de choses à la lecture de ce roman. Imaginez-vous qu’on se retrouve avec « Bali Balo » en tête grâce aux jeux de mots de l’auteur.

Comme vous l’aurez compris, notre Requiem va se retrouver à enquêter en EPHAD, mais en plus, il va nous faire voyager, car il se retrouve en Bretagne. Il va aussi nous faire sourire de par son nom d’emprunt, Nikos Lebelle. Oui, vous aurez sans doute compris à quel auteur il fait référence ! Et, en parlant d’auteurs, il n’épargne personne. Ils sont beaucoup à y passer et, quand on connaît les auteurs, ça nous donne bien souvent des images à hurler de rire.

Niveau jeu de mot, l’auteur nous entraine au côté de Jacques Brel avec ce genre de répliques :  « Pas lui qui chantait -Je ferais un dolmen où l’amour sera roi, où l’amour sera loi, où tu seras reine » ? Eh oui, notre Requiem n’a pas sa langue dans sa poche et son humour est toujours aussi agréable. Sérieusement, je suis complètement accro au personnage et j’en redemande à chaque fois tant ce genre de romans fait du bien au moral et nous permet d’oublier tous les soucis du quotidien. J’en ris encore en écrivant mon avis.

Dans ce roman, il y a aussi un sujet assez sérieux qui est abordé, il s’agit de l’euthanasie. J’ai vraiment aimé la façon dont l’auteur l’aborde et je vous laisse découvrir par vous-même, vous comprendrez pourquoi il l’aborde dans ce roman.

Bref, si vous avez envie d’une bonne séance de fou rire, foncez en librairie retrouver Requiem, vous ne serez pas déçus. J’aimerais tant lui mettre un 6/5 à notre Requiem mais c’est impossible.

Bon allez, je vous laisse avec une de ses petites prières que vous reconnaitrez

Mon Dieu, je reconnais que : j’ai pêché, je pèche et je pècherai, et quoi que je fasse l’amour est partout où je regarde… dans les moindres recoins de l’espace, dans les moindres rêves où je m’attarde, l’amour comme s’il en pleuvait…alors comment je résiste à l’égaler ? Pardonnez-moi, mon Dieu…

Note : 5 sur 5.

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