La saga phare du label Lorestone revient en librairie. Avec la sortie du quatrième tome, Le Portail des dieux infernaux, Matt Dinniman confirme son statut de maître incontesté de la LitRPG, offrant un mélange toujours plus explosif de satire, d’action et d’excentricité.
Après un accueil triomphal en France pour les trois premiers volumes, Lorestone, le premier label éditorial français entièrement dédié à la LitRPG (Literature Role Playing Game), annonce aujourd’hui la parution très attendue du quatrième opus de la série culte : Dungeon Crawler Carl. Disponible dès maintenant en format papier et ebook, ce nouveau chapitre promet d’emmener les lecteurs encore plus loin dans la folie du donjon intergalactique.

Une ascension fulgurante
Avec plus de 2 millions de lecteurs à travers le monde, Dungeon Crawler Carl n’est plus une simple curiosité de niche : c’est une référence majeure de la pop culture actuelle.
La prémisse, aussi absurde que tragique, a su captiver un large public : la Terre est transformée en un donjon géant, théâtre d’un jeu télévisé mortel diffusé à travers la galaxie. Nous y suivons Carl, un homme ordinaire, et Princesse Donut, le chat de son ex devenue une créature sentient et capricieuse. Ensemble, ils doivent survivre aux niveaux successifs, naviguant entre mécaniques de jeu cruelles, spectateurs extraterrestres assoiffés de sang et humour noir décapant.
Tome 4 : Plus sombre, plus vaste, plus « Carl »
Dans Le Portail des dieux infernaux, Matt Dinniman ne se contente pas de reprendre la recette qui a fait le succès des tomes précédents ; il l’intensifie. Si l’on retrouve l’énergie chaotique rappelant des œuvres comme Dan Da Dan — mêlant action effrénée et absurdité totale —, l’auteur opère ici un tournant narratif.
Les enjeux dépassent désormais la simple survie immédiate. Carl et Donut ne veulent plus seulement jouer ; ils veulent casser le jeu.
Le défi du Niveau 5 : Projetés dans une « bulle » avec 150 autres crawlers, nos héros ont quinze jours pour conquérir quatre châteaux et déverrouiller l’accès aux escaliers. Le tout en gérant des coéquipiers souvent incompétents et une surveillance accrue de l’administration du donjon.
Ce quatrième tome se distingue par :
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Un bestiaire improbable : Des dieux infernaux aux requins-pieuvres, en passant par des gerbilles et des lézards, l’imaginaire de Dinniman est sans limites.
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Une tension psychologique accrue : Carl possède un atout caché, le « Livre », mais se trouve sous l’œil vigilant de Loita, la nouvelle agente de l’équipe. La moindre erreur pourrait être fatale.
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Une dynamique de rébellion : La phrase d’accroche du tome résume parfaitement l’esprit de ce volume : « Ils ne le briseront pas. Jamais. C’est lui qui les brisera. »
Le cadeau idéal pour les fêtes
À l’approche de Noël, Dungeon Crawler Carl s’impose comme une idée cadeau pertinente, capable de séduire aussi bien les amateurs de fantasy et de science-fiction que les néophytes curieux de découvrir la LitRPG. C’est une porte d’entrée accessible, moderne et nourrie de codes vidéoludiques digérés avec brio.
Retrouvez une autre sage de chez Lorestone dans nos avis par ici :
Avis : System Universe, Tome 1 : Immortels de SunriseCV aux Éditions Lorestone
Avis : System Universe, Tome 2 : Torith de SunriseCV aux Éditions Lorestone
Avis : System Universe, Tome 3 : Savannah de SunriseCV aux Éditions Lorestone
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