Hey hey les geekos, on se retrouve aujourd’hui pour parler d’un roman d’aventure jeunesse « L’octaèdre, la flamme du serpent à plumes » de Lobo Grant et Julien Bringer-Deik aux Éditions Tesseract.
Hanayo, jeune fille intrépide et courageuse, découvre dans son ancienne maison de famille une mystérieuse sphère de métal sur laquelle huit créatures fantastiques sont gravées. Alors qu’elle traverse son village, des battements font palpiter l’étrange objet. Passionnée d’archéologie, elle est décidée à ouvrir la sphère et à comprendre l’origine de ces vibrations. Ses recherches la conduisent à découvrir l’Octaèdre, son étonnant gardien et les dangers qui menacent le monde…
Hanayo entame un périple aussi fantastique que périlleux dans une antique cité d’Amérique. Heureusement, la jeune fille peut compter sur ses connaissances, celles de son nouvel ami, ainsi que sur sa fidèle devise : « Restons méthodiques et précis ! «
Quand j’ai vu ce roman jeunesse chez les Éditions Tesseract, que j’avais déjà découvertes avec Brindille, je n’ai pas pu résister. Et je ne le regrette absolument pas car encore une fois, la maison d’édition m’a offert une très belle surprise.
L’histoire s’ouvre sur un objet mystérieux, et je trouve qu’il n’y a rien de plus efficace pour happer immédiatement le lecteur. La curiosité est immédiatement éveillée, on se pose des questions et l’envie de tourner les pages devient irrésistible.
Hanayo, justement, n’est pas du genre à laisser filer un mystère. Elle est méthodique, posée, et c’est peut-être ça que j’ai le plus aimé, une héroïne qui avance avec la tête froide dans une aventure où tout invite à foncer tête baissée. Elle prend sont temps, elle observe et elle réfléchit.
L’histoire nous emmène d’une vieille maison à une cité antique d’Amérique, avec un parfum d’archéologie et de légende. On retrouve cette magie des livres qu’on lit gamin et on ne se demande pas si c’est plausible, on suit parce que c’est captivant. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ça l’est vraiment.
Ce que j’ai adoré, c’est la sensation de voyage condensée en à peine plus de 80 pages. Pas de longueurs, pas de descriptions inutiles, on va à l’essentiel.
Bref, un roman à recommander aussi bien aux plus jeunes qu’aux adultes qui veulent, le temps d’une lecture, retomber en enfance tout en partant à l’aventure.
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