Seichirô Kondô prend part à la mission de purification des miasmes malgré la toxicité de l’environnement qui met sa vie en danger. Le comptable propose alors une solution provisoire afin de protéger le royaume et met en place un protocole pour trouver un moyen d’éradiquer définitivement la source du mal qui ronge Romani. Mais son initiative n’est pas appréciée par tous, car elle remet en question les fondements idéologiques du pays… Heureusement, Seichirô peut compter sur le soutien indéfectible d’Aresh qui ne cesse de réduire la distance entre eux.

Dans Un comptable à la cour, suivez l’aventure épique et romantique d’un salarié addict au travail qui, grâce à ses compétences organisationnelles, trouvera sa place dans un autre monde de la plus improbable des manières !

 – Mon avis –

Le premier tome de Isekai no Sata wa Shachiku Shidai nous plonge dans un univers où la comptabilité rencontre la fantasy, offrant une perspective originale au genre isekai.

L’idée de base est simple mais brillante : un salarié épuisé par le travail se retrouve dans un univers fantastique et utilise ses compétences en comptabilité pour aider le royaume. C’est une approche rafraîchissante qui se moque gentiment des clichés habituels des isekai. Au lieu de sauver le monde avec des pouvoirs magiques, Kondou sauve les finances du royaume avec des bilans équilibrés. C’est à la fois drôle et pertinent.

Les dessins de Kazuki Irodori sont modernes et élégants, avec une attention particulière aux détails. Les expressions des personnages sont bien capturées, renforçant l’immersion dans l’histoire. Les scènes de bureau, bien que dans un monde fantastique, sont étonnamment réalistes et ajoutent une touche d’humour supplémentaire.

Ce premier tome pose les bases d’une série prometteuse, mêlant humour, romance et fantasy avec une touche de satire sociale. Si tu cherches un isekai différent, où la gestion des finances est aussi importante que les batailles épiques, ce manga est fait pour toi.

Type de publication: Manga
Prix: 8.05 €
Format: 127 x 180 mm
Traduction – Adaptation – Lettrage: David Pollet / Guillaume Marka

No responses yet

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *