« Le Personarium est un sanctuaire à l’intersection des mondes.
Ceux dont la mémoire y est conservée ne seront jamais oubliés. »
Lorsqu’un anonyme, à l’agonie dans un désert aride, voit se dessiner devant lui les colossales portes du Personarium, il croit être victime d’un mirage. Plongé au cœur d’un dédale onirique, des œuvres à l’effigie d’inconnus le transportent alors vers d’autres contrées, d’autres époques, d’autres réalités.
Deux jeunes femmes, à Paris pendant la Belle Époque.
Un chevalier et une assassin, au Japon féodal.
Un scientifique, à New York en 2025.
Un garçon aux pouvoirs surnaturels, dans un futur à l’environnement ravagé.
Et tant d’autres destins liés, dont les histoires lui sont narrées.
Mais quel message le Personarium tente-t-il de lui faire comprendre ? Quel lien existe-t-il entre ce lieu et son propre passé qu’il cherche à fuir ? Et qui est le Conservateur, qui le pourchasse comme une ombre ?
– Mon avis –
Après avoir découvert avec enchantement Le jour où la boîte s’est ouverte, je me suis plongé dans Le Personarium. Quentin poursuit avec son écriture toujours aussi remarquable, sa plume reste fluide et captivante. Les histoires sont un vrai plaisir à lire, chacune porte une belle morale. Ce que j’apprécie particulièrement, c’est le fait qu’il privilégie des récits nuancés sans antagonistes typiques, c’est vraiment enrichissant, et c’est rare de trouver des livres où les personnages ne sont ni tout blancs ni tout noirs, mais simplement humains avec leur point positif et aussi leur côté noir.
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