Hey hey les geekos, on se retrouve aujourd’hui avec un recueil de nouvelles contemporain. Il s’agit de « La paix des fleurs » de Anne Monneau en auto-édition.

Une résidente d’Ehpad atteinte de la maladie d’Alzheimer trouve la paix auprès des fleurs, une petite-fille embarque sa grand-mère en fin de vie pour une dernière virée en voiture, une jeune femme plonge dans les profondeurs de son arbre généalogique à la rencontre de ses aïeux…
Ce recueil composé de trois nouvelles aborde avec tendresse et poésie les thèmes de la maladie, de la fin de vie et du deuil. Il vous en offre une vision apaisée, à l’image des personnages qui le composent.

Sans les rendez-vous du portail de l’auto-édition, (d’ailleurs, je vous invite à cliquer sur le lien pour découvrir la chaine youtube), je n’aurais sans doute jamais découvert ce recueil de nouvelles et ça aurait été bien dommage de passer à côté d’un tel moment de lecture.

Ce recueil peut sembler court et très rapide à lire et pourtant, il est tellement empreint de sensibilité que l’autrice arrive à nous toucher en très peu de pages. Même si la quatrième de couverture en dit pas mal sur les thèmes abordés, avant de commencer la lecture, nous nous retrouvons face à un avertissement sur les thèmes abordés et certains passages qui pourraient nous sembler difficiles à lire. Personnellement, ce sont des thèmes qui me touchent beaucoup mais que j’aime retrouver en littérature et qui ont même tendance à me réconforter.

Au fil des pages, nous allons donc découvrir trois nouvelles qui sont « La  paix des fleurs », « Le dernier voyage » et « Les branches du souvenir ». Elles m’ont toutes autant transportée les unes que les autres, ne me demandez pas de faire un choix, j’en serais bien incapable. La plume de l’autrice est touchante, émouvante et empreinte de poésie et ce mélange fonctionne très bien car j’ai lu ce recueil d’une traite. Et à la fin, j’en redemandais !

Bref, vous l’aurez compris, j’ai été séduite par ce recueil. Et si, comme moi, vous êtes sensibles aux thèmes annoncés dans la quatrième de couverture, n’hésitez pas à cliquer ici.