Bonjour les amis ! Je reviens aujourd’hui pour vous parler de la suite de la trilogie de Daevabad. J’ai donc lu The Kingdom of Copper (Le Royaume de Cuivre en VF) écrit par S.A. Chakraborty et publié en français chez De Saxus.
Résumé :
Le sang peut être aussi dangereux que n’importe quel sort…
Vous pensiez tout savoir sur la légendaire Cité de Laiton ? Vous n’avez encore rien vu.
Vivant autrefois de petites arnaques dans les rues du Caire, la vie de Nahri a changé à jamais lorsqu’elle a invoqué Dara, un redoutable et mystérieux djinn. Transportée dans la cour royale de Daevabad, la légendaire Cité de Laiton, Nahri doit assumer son héritage caché et ses pouvoirs, mais cette cage dorée sera fatale pour sa tribu au moindre faux pas.
Exilé pour avoir osé défier son père, Ali est à la dérive dans les sables impitoyables de sa terre natale. Traqué par des assassins, il s’appuie sur de nouvelles capacités qui lui ont été octroyées et qui menacent de révéler le terrible secret de sa famille.
Alors que les djinns se rassemblent à Daevabad pour célébrer un nouveau siècle, une menace se profile dans le Nord. Celle-ci promet d’amener une tempête de feu jusqu’aux portes de la ville… avec l’aide d’un guerrier pris entre deux mondes.
Mon avis :
Il y a quelques temps, je vous avais déjà parlé du premier tome de cette trilogie de fantasy orientale, La Cité de Laiton. Si j’avais aimé, j’avais aussi relevé quelques longueurs. Je ne peux pas vous dire que là, toutes les longueurs ont disparu, mais cela m’a moins gênée.
On retrouve les personnages du premier tome mais 5 ans ont passé. En 5 ans, les choses ont changé et pas qu’un peu ! Dara est (spoiler alert) toujours cru mort, Ali a été plus ou moins exilé dans le désert et Nahri a dû épouser Muntadhir, le futur héritier du trône de Daevabad. Les trois personnages principaux sont donc séparés pour une partie de l’intrigue et je n’attendais qu’une chose : le moment des retrouvailles ! Parce qu’eux aussi, en 5 ans, ils ont changé. Ali m’a beaucoup plus plu dans ce tome. Il a gagné en maturité et doit aussi jongler entre ses nouvelles capacités et certains problèmes qui le poursuivent, avec son père notamment.
J’ai, par contre, trouvé Nahri parfois un peu passive mais cela s’explique dans l’intrigue. Elle n’a pas vraiment le choix de certaines de ses actions et c’était frustrant par moments. Pour autant, j’aime toujours autant ce personnage et sa force de caractère. Elle cherche à se battre pour ses valeurs et sauver son peuple en mettant ses pouvoirs et ses capacités à leur service.
Concernant Dara, je ne peux pas dire grand chose sans spoiler une grosse partie de l’intrigue de ce tome 2. Je ne peux que vous dire de le lire pour savoir ce qu’il advient du guerrier djinn.
Il m’est toujours difficile de parler d’une suite car j’ai toujours peur d’en dire trop. Mais je peux vous dire ceci : l’originalité de cette trilogie, outre le fait qu’il s’agisse de fantasy orientale, tient dans la plume de l’autrice, maîtrisée de bout en bout, mais aussi dans l’univers qu’elle a réussi à créer et dans lequel on se retrouve happé dès les premières lignes.
En bref, un deuxième tome encore meilleur que le premier et où tout s’enchaîne ! Les personnages ont tous gagné en maturité mais restent néanmoins toujours un peu gris, pour notre plus grand plaisir ! La fin, un cliffhanger de fou, me donne très envie de vite sortir le tome 3 de ma PAL !
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