Au siècle dernier, avant que les jeux vidéos ne soient tous en qualité photoréaliste et lors duquel la « Next-gen » n’était qu’un vague concept, les jeux vidéos tenaient sur des cartouches sur lesquelles il fallait parfois souffler pour que le jeu se lance. Je vous parle d’un temps où les jeux vidéos (maintenant considérés comme du retrogaming), étaient de petits cubes et carrés de couleurs appelés PIXELS. Et dans ce domaine, il y a une console qui se détachait du lot tant les développeurs s’étaient investis en elle : LA SUPER NINTENDO, la console 16 Bits de toute une génération de joueurs.
L’ART DU PIXEL, chez THIRD EDITIONS retrace l’histoire des jeux pixelisés sur cette console qui à elle seule a enchanté toute une génération de joueurs.
Le livre de CHRISTINE BAUER et ROBERT BANNER est écrit comme si l’on visitait un musée du jeu vidéo que l’on visiterait selon ses goûts. Chaque style de jeux est décortiqué pour faire place à un jeu phare. Un jeu qui a inspiré les autres jeux de l’époque…
Pour étayer leurs propos, les deux auteurs nous expliquent dans le détail chaque style de jeux et nous abreuvent d’images d’archives de jeux plus cultes les uns que les autres.
Le livre est découpé en sept « salles » qui permettent aux lecteurs de déambuler sans forcément suivre un sens logique. Nous avons donc : Le jeu Action-Aventure et RPG, le jeu de Plateforme, le jeu d’Action-Plateforme, le jeu d’Actions, le jeu de Combats et les autres genres comme les Simulations, la Stratégie et Puzzles-Games.
On passe volontiers de la genèse des jeux d’actions-rpg comme le modèle « Zelda » au genre plateforme de « Mario » notre plombier préféré ou bien encore le « shoot em up avec « Axelay » et bien d’autres.
Si vous connaissez un joueur nostalgique de cette époque, n’hésitez pas à lui faire ce cadeau, que vous pourrez acheter ici, Vous taperez dans le mille.
En attendant, moi, je repars me faire un petit Street Fighter 🙂
No responses yet