– Mon avis –
Prison sidérale nous embarque sans détour dans son univers de science-fiction, avec une écriture simple, accessible et agréable à lire — pas besoin d’un doctorat en astrophysique pour comprendre ce qui se passe, et c’est tant mieux ! Dès les premières pages, on est happé par le rythme soutenu : les chapitres s’enchaînent comme des épisodes de série qu’on s’enfile à la vitesse de la lumière.
L’intrigue tient bien la route, avec ce qu’il faut de suspense pour nous maintenir en orbite, et une ambiance bien installée, un brin mystérieuse, parfois tendue, mais toujours captivante. Même si on n’est pas un habitué des galaxies lointaines et des aventures interstellaires, on se laisse embarquer avec plaisir dans ce voyage mouvementé.
Les personnages sont attachants, parfois surprenants, et l’ensemble forme une nouvelle qui, sans prétention, fait très bien le job : divertir, faire voyager et offrir une belle parenthèse d’évasion. Bref, Prison sidérale, c’est un peu comme un bon vieux film de science-fiction qu’on regarde un soir de pluie : ça se lit vite, ça fait du bien, et on en redemanderait presque une suite !
50 pages (format 15×23 cm), couverture souple. 5,90 €. Illustration : Fred Grivaud.
Cette nouvelle est disponible par ici : Les Temps Impossibles
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