L’histoire folle d’un pilote de chasse soviétique, durant la seconde guerre mondiale, rétrogradé et parachuté de force sur Stalingrad. Découvrez, en lisant son carnet de note, son histoire et ses ressentis tout le long de ses années de services ainsi que la grande histoire d’amour qui plane autour du titre « Un télégramme de l’asile ». Ses exploits ne s’arrêtent pas à une simple conquête, à des combats acharnés et à des techniques de survie rustique. Ses rencontres sur Stalingrad marquent les esprits des plus jeunes tel que le jeune parachutiste Boris Dimitriev qui, tourmenté par la guerre, va tenter de démêler le vrai du faux et prouver l’existence de son camarade oublié par ses frères. Traversez l’Union Soviétique d’après-guerre à la recherche du pilote.Vivez l’histoire comme un film à l’aide des nombreux dialogues et des scènes décrites avec réalisme. Faites la rencontre de personnages charismatiques qui vont aider Boris dans ses recherches ou le ramener à la raison, touché psychologiquement par la guerre Boris n’aurait-il pas, tout simplement, inventé cette histoire ?

 – Mon avis –

Ce roman plonge les lecteurs au cœur de la guerre. L’auteur utilise par moments la langue russe et fournit de nombreuses informations détaillées sur les armes utilisées ainsi que sur les lieux, on sent qu’il y a de la recherche dans cet ouvrage.

Tout au long de ma lecture, les pages se sont tournées très vite tant je voulais savoir la suite, et surtout la fin, à laquelle je ne m’attendais pas.

L’histoire offre très peu de moments de répit, nous vivons soit à travers Joseph, en plein conflit, soit à travers Boris, qui le cherche à travers le pays. Mais j’ai vraiment aimé les passages dans lesquels on suit Joseph, peut-être à cause de l’action qui donne un petit truc en plus et que l’on découvre via son journal.

Je recommande cet ouvrage à tous ceux qui aiment la littérature historique, déjà, mais aussi à tous les autres, car on sent que l’auteur a voulu écrire un ouvrage authentique.