Derrière son titre à rallonge et son concept de « 100 jeux en 1 », DUCK: Dangerous Ultimate Cartridge Kidnapper cache une proposition qui rappelle immédiatement les heures de gloire de WarioWare. Sur PS5, l’expérience nous plonge dans une ambiance rétro savoureuse où un groupe de canetons se retrouve piégé par un esprit maléfique à l’intérieur d’une cartouche mystérieuse. Pour s’en sortir, une seule solution : enchaîner les micro-défis à une vitesse folle.
Le titre brille avant tout par sa générosité et son rythme. Les mini-jeux s’enchaînent sans temps mort, nous demandant de comprendre l’objectif en une fraction de seconde. C’est ici que le plaisir opère : on passe d’un duel de cow-boys à une session de tri de tomates ou à une phase de plateforme minimaliste. Sur PS5, la fluidité est exemplaire et les temps de chargement inexistants permettent de rester constamment dans l’action. On apprécie particulièrement l’effort sur l’habillage visuel, qui varie selon les défis pour parodier différentes consoles et époques du pixel art.
Cependant, tout n’est pas parfait dans cette compilation. Si la quantité est là, la qualité des épreuves est inégale. Certains mini-jeux manquent cruellement de clarté dans leurs instructions, menant à des échecs frustrants lors de la première découverte. De plus, les phases de boss, bien que sympathiques au premier abord, ont tendance à s’étirer un peu trop en longueur, cassant le rythme effréné qui fait tout le sel du genre. Malgré ces quelques accrocs et une bande-son qui peut devenir répétitive, le titre reste une petite pépite pour les amateurs de scoring et de soirées entre amis grâce à son mode « Hotseat ».
Un titre sympa et sans prétention qui remplit parfaitement son rôle de divertissement immédiat, malgré une certaine irrégularité dans ses micro-jeux.
J’aime :
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Le concept rafraîchissant et l’humour omniprésent.
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La grande variété des mini-jeux et des styles graphiques.
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La fluidité parfaite sur PS5.
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L’aspect « pick up and play » idéal pour de courtes sessions.
J’aime pas :
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Quelques mini-jeux aux objectifs trop flous.
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Des pics de difficulté parfois injustes.
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Les combats de boss un peu trop longs.
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Une bande-son qui tourne vite en boucle.

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