Alors voilà, j’ai enfin mis les mains sur Borderlands 4 et, comme d’habitude, c’est du grand n’importe quoi. La première mission, je me balade tranquillement dans les collines verdoyantes, je fouille un peu partout, et BAM, un ennemi m’explose en plein visage. Je me suis retrouvé à crier devant mon écran “Mais non !”, et j’ai fini par rigoler tout seul. C’est exactement ce que j’adore dans Borderlands : tu ne sais jamais si tu vas mourir comme un idiot ou te sentir badass.
Kairos est un monde ouvert énorme, et chaque zone a sa propre ambiance. Perso, je me suis perdu trois fois dans les montagnes glacées à cause des plateformes glissantes et j’ai fini par tomber dans un ravin. Heureusement, le respawn est rapide, mais j’ai passé les cinq minutes suivantes à râler en essayant de retrouver mon chemin. Et pourtant, j’ai adoré ces moments, parce qu’ils ajoutent du challenge et te font rire après coup.
Graphiquement, le jeu est une vraie réussite. Le style cell-shading si caractéristique de la série est toujours là, mais avec un rendu beaucoup plus détaillé : les explosions sont spectaculaires, les textures des ennemis et des décors sont riches, et la palette de couleurs rend chaque zone vraiment unique. Les lumières et les ombres donnent un vrai relief à l’action, et j’avoue que certains panoramas m’ont carrément fait arrêter de bouger juste pour les admirer avant de tout faire péter.
Côté gameplay, c’est là que Borderlands 4 explose vraiment. Les armes sont complètement folles, et le système de personnalisation permet de créer des combos inimaginables. J’ai passé des heures à mélanger des fusils, pistolets et lance-roquettes juste pour voir jusqu’où je pouvais pousser le chaos. À un moment, j’ai réussi à envoyer un ennemi énorme valser dans les airs avec un tir en chaîne, et j’ai éclaté de rire devant mon écran comme un idiot.
Mais le gameplay ne se limite pas aux armes. Les mouvements sont incroyables : double saut, dash aérien, grimper aux murs, vol plané… j’ai fait des cascades dignes d’un film d’action en tirant sur tout ce qui bougeait. À un moment, j’ai enchaîné un saut depuis un mur, un dash pour esquiver un tir, et j’ai réussi à tuer trois ennemis avant d’atterrir. Et puis, bien sûr, j’ai raté le dernier saut et je me suis retrouvé à tomber dans le vide, rigolant comme un fou. Ces mécaniques donnent une verticalité et une fluidité aux combats que je n’avais jamais vues dans la série.
J’ai commencé avec Harlowe, la stratège tactique, et c’est un vrai régal de combiner ses pièges avec les armes que je trouvais. Chaque combat devient un petit puzzle : où poser mes pièges, quand utiliser mes capacités spéciales, quel ennemi prioriser… parfois ça marche parfaitement, et je me sens invincible, parfois ça tourne au chaos total et je meurs comme un amateur. Ces hauts et bas rendent chaque mission unique et excitante.
Borderlands 4, c’est un vrai rollercoaster solo : explosions, rires, fails, stratégie, loot dingue, et sensations de gameplay absolument folles. Je ne compte plus le nombre de fois où je me suis retrouvé à hurler de frustration ou à rigoler devant des situations totalement absurdes. Si vous aimez les jeux où tout peut arriver, où chaque combat est intense et chaque partie devient votre propre histoire folle, foncez. Pour moi, c’est exactement ce que Borderlands a toujours été : du chaos contrôlé, du fun à l’état pur… et un vrai régal à jouer.
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