Atsuko est la terreur de son lycée ! Solitaire et bagarreuse, elle intimide autant qu’elle suscite l’admiration de ses camarades. Pourtant, Kanzaki, la nouvelle élève de sa classe, n’arrête pas de lui tourner autour… Arrivera-t-elle à faire baisser sa garde à celle qu’on surnomme “la tueuse au million de victimes” ?
Ancré dans le Japon des années 1980, La Belle et la Racaille est une comédie lumineuse portée par des personnages hauts en couleur et un dessin rétro bourré de charme !
– Mon Avis –
Alors là, j’ai craqué !
La Belle et la Racaille, tome 1, c’est le genre de manga qui débarque l’air de rien avec ses pompes pleines de douceur et ses poings dans les poches.
Tu penses lire une romance scolaire un peu classique et bim, tu te retrouves à sourire comme un con devant ton bouquin en te disant mais qu’est-ce que c’est que ce duo qui fonctionne aussi bien !
Ce premier tome, c’est une tranche de lycée aux bords légèrement cramés par l’excentricité, mais avec un cœur fondant dedans.
Le dessin est simple, clair, genre tu sens que Fujichika veut pas t’en mettre plein la vue, juste te faire passer un bon moment et, franchement, ça marche.
Les expressions sont savoureuses, les silences parlent plus fort que les dialogues et quand Atsuko se laisse un tout petit peu attendrir, t’as envie d’applaudir comme si elle venait de marquer un but émotionnel.
Y’a pas de grand drama, pas de love triangle chiant, pas de rivalité bidon
Juste une belle alchimie en construction entre deux filles qu’auraient jamais dû se parler mais qui, finalement, se font du bien.
Et toi t’es là, en mode lecteur attendri, à prier pour que ça continue dans cette vibe douce et fun
C’est un peu comme si tu trouvais une canette de soda oubliée au fond du frigo, bien fraîche, sucrée, pétillante pile quand t’en avais besoinLa Belle et la Racaille, c’est le début d’un petit truc tranquille et tendre
Et moi, je signe direct pour la suite
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