Imaginez un Doom Slayer en armure médiévale, armé d’un bouclier-tronçonneuse et chevauchant un dragon cybernétique cracheur de feu, affrontant des démons dans des châteaux en ruines et des forêts obscures, le tout avec une bande-son métal médiévale qui ferait bondir un moine bénédictin.

Bienvenue dans Doom: The Dark Ages, où le Slayer, tel un tank enragé, défonce tout sur son passage avec des armes dignes d’un forgeron sous stéroïdes, comme une masse à pointes ou un gantelet électrifié, et où chaque combat est une danse macabre entre parades, esquives et exécutions spectaculaires.

Le jeu offre 22 niveaux de pure brutalité, sans multijoueur pour distraire de l’essentiel : massacrer des démons à la chaîne, Doom: The Dark Ages est une expérience épique, sanglante et délicieusement absurde, où l’on peut enfin réaliser son rêve d’écraser des démons avec un mécha de 30 étages ou de les carboniser depuis les cieux sur le dos d’un dragon armé jusqu’aux dents.

Dans Doom: The Dark Ages, le gameplay évolue vers une approche plus tactique et méthodique. Le Doom Slayer, tel un tank médiéval, privilégie le combat rapproché avec des armes comme le bouclier-tronçonneuse, qui permet de bloquer, parer et attaquer en un seul mouvement. Ce bouclier peut également être lancé pour faucher les ennemis et revenir tel un boomerang meurtrier .

Le jeu introduit également des armes de mêlée variées, telles qu’un fléau, une masse à pointes et un gantelet électrifié, chacune offrant des combos uniques et des possibilités d’amélioration . Le système de parade est central, récompensant le timing précis pour dévier les attaques ennemies et ouvrir des opportunités de contre-attaque dévastatrices .

Les armes à feu ne sont pas en reste, avec des classiques revisités comme le Super Shotgun, capable d’éliminer plusieurs ennemis en un seul tir, et de nouvelles armes telles que le Skullcrusher, qui projette des éclats d’os surchauffés, ou le Rail Spike, inspiré du lance-pieux de Painkiller, pour empaler les démons contre les murs .

Dans DOOM: The Dark Ages, l’univers brutal et gothique de la franchise s’enrichit d’une innovation spectaculaire : le méca-dragon nommé Serrat. Cette créature hybride, à la fois organique et mécanique, sert de monture au Doom Slayer, offrant une nouvelle dimension au gameplay. Serrat est doté d’ailes mécaniques propulsées par des réacteurs, lui permettant de voler à grande vitesse, d’esquiver les attaques ennemies et de cracher des flammes dévastatrices sur les hordes démoniaques. Équipé de tourelles automatiques, il transforme les combats aériens en véritables scènes de guerre, où le joueur peut verrouiller des cibles, effectuer des manœuvres d’évitement et atterrir sur des vaisseaux ennemis pour poursuivre le combat au sol . Cette intégration du méca-dragon enrichit l’expérience de jeu, en mêlant habilement action frénétique et exploration verticale, tout en renforçant l’immersion dans l’univers sombre et épique de DOOM: The Dark Ages.

Le système de glory kill a été repensé pour offrir plus de liberté et moins de séquences scriptées, permettant des exécutions spectaculaires sous différents angles .

Doom: The Dark Ages ne se contente pas de changer d’époque, il redéfinit aussi les standards visuels de la franchise avec le tout nouveau moteur idTech8, qui propulse le jeu dans une dimension graphique inédite. Grâce à l’intégration du ray tracing et du path tracing, chaque éclairage, ombre et reflet est calculé en temps réel, offrant une immersion visuelle saisissante. Mais ce n’est pas tout : le ray tracing est également utilisé pour améliorer le gameplay, en permettant une détection de collision plus précise selon les matériaux touchés, qu’il s’agisse de métal, de cuir ou de fourrure .

L’esthétique du jeu mêle habilement réalisme brut et fantaisie sombre, avec des environnements oppressants et des palettes de couleurs dominées par des rouges profonds, des noirs intenses et des tons désaturés. Les décors, allant de châteaux gothiques à des paysages infernaux, sont rendus avec une richesse de détails impressionnante, renforçant l’atmosphère lugubre et immersive du jeu .

Doom: The Dark Ages est un véritable festin pour les amateurs de carnage vidéoludique, où l’on peut enfin réaliser son rêve d’écraser des démons avec un mécha de 30 étages ou de les carboniser depuis les cieux sur le dos d’un dragon armé jusqu’aux dents.

Et si vous pensiez que le Moyen Âge manquait de piquant, attendez de voir ce que le Slayer en fait : entre un bouclier-tronçonneuse qui ferait pâlir d’envie un bûcheron en colère et des fléaux électrifiés qui transforment les démons en confettis, l’époque médiévale n’a jamais été aussi explosive.

 

Le code d’accès anticipé au jeu a été offert/fourni par Bethesda, qu’on remercie pour leur confiance !

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