Apprêtez-vous à bondir sur l’île de San Angora, une terre complètement loufoque où vous retrouverez Pilgor et ses amis pour semer la pagaille sur votre passage. D’une course effrénée en tracteurs à une séance de yoga pour chèvres, seule votre imagination sera la limite dans cette expérience solo ou multijoueur.

Goat Simulator 3 est un jeu d’aventure bac-à-sable complexe mais très stupide, dans lequel quatre joueurs peuvent se retrouver pour déchaîner les enfers. Mais ne vous inquiétez pas, aucune chèvre n’est laissée de côté ! Vous pouvez tout aussi bien parcourir, ravager et découvrir tous les secrets de l’île de San Angora de votre côté.

Tout comme dans l’opus d’origine, le gameplay s’articule autour de l’exploration, de la résolution d’énigmes et de la destruction « accidentelle » de tout ce qui se trouve à portée de pattes… Mais cette fois, ça va aller beaucoup plus loin.

Faites exploser des PNJ avec des armes extraterrestres, lancez des mini-jeux déjantés n’importe où et n’importe quand, devenez un « rhinocéros » piétinant tout sur son passage (la phrase est bientôt terminée), rejoignez et proposez vos services à une société secrète de chèvres (retenez votre souffle), faites s’écraser à toute allure votre voiture dans une station-service (qu’est-ce qui se passe avec les chèvres et les stations-service ?) et bien plus encore !
(ouf, enfin terminé)

Le monde est, littéralement, à vos sabots.
Mais tout le monde sait que vous ne pouvez pas prétendre détruire celui-ci si votre flow est négatif. Dans Goat Simulator 3, il y a tellement d’articles à la mode qu’il est impossible de ne pas trouver chaussure à son sabot. Si vous voulez vous balader en tutu rose, avec une perruque blonde géante et des pots de peinture en guise de chaussures, qui sommes-nous pour vous juger ? Après tout, cela vous distingue de votre ami habillé en chevalier médiéval qui tire des lasers de ses yeux, et de l’autre déguisé en abominable banane géante (aka Abominana).