Vous incarnez Guy, un voyou qui se réveille meurtri et un brin « un verre dans le nez » en bord de champ. Sa vie est dans le caniveau mais il décide de faire quelques changements. Il va participer au Tournoi et gagner la main (et plus…) de la princesse.
Pour participer au tournoi, Guy doit se procurer des fonds pour payer les frais d’entrée, alors lui et son compagnon paresseux, Buddy, se sont mis à gratter ensemble les pièces nécessaires. Cette quête épique emmène le duo à travers le royaume, jetant du caca à quiconque se met en travers de leur chemin. Vous pouvez également poignarder, tirer, frapper et écraser des personnes avec des chevaux.
L’écriture passe du rire à haute voix à un effort un peu trop fort, mais il s’agit principalement d’un habillage de fenêtre léger pour le cadre historiquement inexact qui aime briser le quatrième mur. Comme c’est le cas dans les jeux GTA, vous passerez le plus clair de votre temps à naviguer dans le petit monde ouvert, à combattre les méchants avec tout, des luths aux longues épées. Le jeu en fait juste assez avec son ensemble de mécanismes de base pour garder les choses fraîches, comme lorsque vous endossez la robes de la mort et que vous vous mettez à effrayer les habitants.
L’audio dans Rustler est fantastique. Bardes de beatbox ! Des mots injurieux pour le doublage au lieu du doublage réel, ce qui est hilarant et n’est pas du tout un problème. Les effets sonores sont corrects, rien à redire ici. La musique dans le jeu est également assez décente, j’aime bien la façon dont lorsque vous avez engagé un barde et qu’il vous suit, vous pouvez changer la chanson qu’il joue en appuyant simplement sur un bouton. Ou en les frappant au visage.
Ce jeu ne m’a pas déçu du tout. Du début à la fin, il est plein d’humour et peut même vous faire rire aux éclats dans certains cas.
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