Stellaris est un jeu de gestion/stratégie popularisé par la série des Endless Space.
Avant de vous lancer dans la conquête spatiale, vous devez paramétrer l’univers, la taille et le design général de votre galaxie. Choisissez l’avancée des empires ennemis ou alliés qui la peuplent. Après, c’est à votre tour de choisir votre empire, et là dessus, vous avez pas mal de choix qui s’ouvrent à vous.
Après ce petit démarrage en douceur, vous êtes partis avec vos premiers vaisseaux à l’exploration, à la recherche, extraire les minéraux, et découvrir les planètes voisines.
La technologie a son rôle dans l’histoire également, trois approches différentes sont disponibles : physique, science sociale, et ingénierie. On n’aura malheureusement pas accès à l’arbre des compétences, comme beaucoup de jeux de ce genre, la planification n’ est pas de mise ici.
L’exploration de la galaxie vous amènera à rencontrer de nouvelles civilisations. Certaines seront amicales, d’autres seront agressives ou mal comprises.
Vous pouvez commercer avec eux, leur déclarer la guerre, ou tout simplement les ignorer. Les possibilités diplomatiques sont nombreuses mais très classiques, à quelques exceptions près. Le système des fédérations est un vrai plus, mais malheureusement très mal exploité avant une bonne moitié du jeu mais un plaisir quand on peut commencer à former de grandes alliances interplanétaires.
Après, vous pouvez choisir de faire la guerre bien sûr, digne des grandes batailles intergalactiques. Votre peuple suivra son commandant, son empereur, ou tout autres aspects de grandeurs pour nous, joueurs. Tout sera pris en compte, votre nombre de planètes, votre technologie, le nombre de vaisseaux.. Il n’y a pas vraiment de tactique vraiment dite, c’est à vous de foncer, droit devant.
Après, le soft a un peu de lenteur, aller d’un bout à l’autre de l’espace n’est pas très rapide, voir aussi lent comme un escargot. Cela peut bloquer un joueur qui n’a pas l’habitude de jouer à ce genre de jeu car il faut prendre son temps. Malgré les vaisseaux dernier cri, les déplacements des unités prennent beaucoup plus de temps.
Surtout que nous sommes en présence d’un jeu en temps réel. Le titre vous permet d’accélérer la vitesse de jeu, mais même avec ce paramètre au maximum le titre reste lent, au point que certains le trouveront soporifique.
Et pour finir, la prise en main, via manette, malgré que pour moi, ce genre de jeu, restera toujours meilleur sur un ordinateur, là, chez Paradox Interactive, ils ont fait une petite merveille pour rendre à leur jeu, une belle prise en main. On sait centrer facilement les unités, leur donner des ordres par un simple geste sur la croix directionnelle, le petit bémol, c’est la gestion des vaisseaux et autres dans le menu à droite, qui dès qu’on a une petite armée à notre service, nous place avec pas mal de lignes et de sous lignes un peu vagues pour bien chercher une unité précise.
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