Dans ce nouveau titre, nous jouons une jeune femme dans un monde steampunk apocalyptique qui a été abandonné par la plupart de ses habitants après avoir été complètement encombré de déchets.
No Place Like Home est un RPG d’ aventure steampunk apocalyptique dans lequel nous jouons une jeune femme qui utilise un aspirateur à ordures pour aspirer et recycler la saleté de l’humanité. Nous construisons une nouvelle maison, cultivons des légumes et battons de méchants robots pour reprendre le monde.
Pour ce faire, il faut briser les tas d’ordures, puis les aspirer soigneusement. Les mécanismes sont simples mais permettent une boucle de jeu satisfaisante : décomposez les déchets, nettoyez-les, recyclez-les. L’acte de ranger les divers biomes du jeu, aidé par ses superbes effets sonores, nous apporte un certain bonheur assez relaxant.
Dans les zones que vous êtes chargé de restaurer, il y a d’autres choses à faire en plus de passer l’aspirateur. La Terre est peuplée du peu de personnages qui sont restés plutôt que d’aller sur Mars, et ils veulent tous votre aide. Les quêtes qu’ils proposent, qui incluent le remplacement des filtres à eau, la réparation des fermes et la réparation des tanières de renards, sont simples. Mais les terminer améliore activement le monde dans lequel vous vous promenez. Un des premiers PNJ vous charge de détruire les arbres déformés par les radiations disséminés sur la carte et de planter des glands à leur place. Ce genre de quête n’offre pas la même gratification instantanée que l’aspiration des ordures, mais le résultat – des chênes verdoyants là où il n’y en avait pas auparavant – vous donnera un vrai sentiment d’accomplissement, à l’instar de tous les bons jeux de ferme qui surfent sur cette vague.
Le genre post-apocalyptique a été utilisé à sa juste valeur. Mais le développeur Chicken Launcher a appliqué une bonne dose de comédie absurde – un cochon napoléonien, des poulets bien habillés et un casting de personnages animaux colorés – à No Place Like Home dans le but d’alléger l’ambiance et la palette. Contrairement à des jeux comme Fallout, à l’esthétique plutôt terne, No Place Like Home présente un ciel bleu et des champs verdoyants, même s’ils sont enterrés sous des tonnes de détritus. Mais rassurez-vous : il n’y a aucune tache de brun morne ou de beige ennuyeux dans le jeu que vous ne pourrez pas complètement éradiquer.
Des jeux originaux et charmants comme celui-ci peuvent s’avérer être de parfaits contrepieds aux titres les plus difficiles de cette année. Mais, comme dans l’univers du jeu, il reste encore des choses à nettoyer avant que ce titre puisse vraiment briller.
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