Ce film est la suite de l’un des succès de 2013, The Purge, qui avait Ethan Hawke dans le rôle principal. Ce n’est pas l’une de ces suites qui reprend le même casting pour continuer ou étendre l’histoire racontée dans la préquelle, mais qui contient un casting et une histoire complètement différents qui maintiennent le concept original de la purge.
Le concept de la purge est… Dans un avenir pas si lointain (2023), la criminalité est faible et le chômage a atteint moins de 5% mais un jour par an est réservé à la purge annuelle où tous les crimes, y compris le meurtre, sont légaux et exempts de peine pendant 24 heures. À dessein de permettre aux citoyens de nettoyer et de purifier leur cœur et leur âme de toute la haine, la colère et les ressentiments en eux en libérant l’agressivité. (Ça a l’air fou, non ?)
Ce film suit un couple, un sergent de police et une mère et sa fille qui sont pris dans la purge en fonction de différentes circonstances, se rencontrent par hasard et doivent s’entraider alors qu’ils tentent de survivre à la nuit à Los Angeles.
Personnellement, je pense que cette histoire a certainement plus de contenu que son préquel, mais la bonne chose est que vous n’avez pas besoin d’avoir regardé le film de 2013 pour être à l’aise avec celui-ci.
Le film commence par des scènes expliquant toute l’idée de la purge afin que vous soyez essentiellement préparé à ce que vous êtes sur le point de regarder. De plus, le scénario n’a aucun lien direct avec celui d’avant. C’est simple et direct et vous n’avez pas à réfléchir pour comprendre ce qui se passe ou est sur le point de se produire. Je pense que les scénaristes ont fait un énorme pas en avant par rapport au script précédent, en approfondissant et en élargissant le concept dans son ensemble. Le jeu d’acteur… eh bien, les rôles étaient simples mais j’ai l’impression que les personnages principaux n’ont pas réussi à transmettre les bonnes émotions pour certaines situations dans lesquelles ils se sont retrouvés… néanmoins, c’était bien.
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