Mais revenons-en au cœur du sujet : le combat dans New World : Aeternum se déroule entièrement en temps réel. Vos attaques dépendent de votre capacité à atteindre votre cible (ou à vous en approcher suffisamment), et il en va de même pour vos ennemis qui tenteront de vous éliminer. Par exemple, la rapière propose une attaque de base en quatre coups, que vous pouvez enchaîner avec une attaque puissante en maintenant la gâchette droite enfoncée. Vous pouvez débloquer des compétences qui enrichissent vos options de combat, comme étourdir vos adversaires avec une série de coups rapides ou effectuer une attaque précipitée, particulièrement utile lorsque vous êtes entouré.

Si Aeternum excelle dans un domaine, c’est bien dans son système de combat et la rapidité avec laquelle il vous immerge dans l’action. Le didacticiel propose des options de mouvement et d’attaque de base à travers une cinématique interactive bien conçue, suivie d’une brève introduction à l’artisanat. L’artisanat est essentiel : une fois que vous avez découvert des terres, des buissons, des rochers et des arbres, vous devrez les récolter pour fabriquer de la nourriture, de l’équipement et un campement. Les camps servent non seulement à l’artisanat, mais aussi de point de réapparition en cas de défaite ou de blessures.

Il ne faut pas oublier que c’est un MMO de survie. Le PvP a toujours été au cœur de New World, mais cette fois, le PvE semble également prendre une place importante. Je ne peux pas encore juger l’ensemble du contenu PvE, n’ayant pas tout terminé, mais ce que j’ai expérimenté jusqu’à présent m’a plu. Concernant l’intrigue principale, elle entraîne les joueurs dans une quête pour libérer Aeternum d’une obscurité qui enveloppe cette vaste île — même si, pour l’instant, je n’ai guère quitté la première ville, Windsward. La plupart des missions consistent en des quêtes de récupération, mais le jeu parvient à varier les objectifs de temps en temps. Vous trouverez également de nombreuses notes de journal disséminées, offrant à la fois des fragments de lore et un grand nombre de points d’expérience, car les habitants d’Aeternum semblent avoir un talent particulier pour égarer leurs journaux.

Toutes les quêtes, y compris les secondaires, sont entièrement doublées et plutôt divertissantes. L’écriture est concise, bien que les personnages aient tendance à s’insulter mutuellement de « bâtards » de façon notable. Les « options » de dialogue avec les PNJ sont quasi inexistantes : un simple bouton « suivant », et il est même impossible de refuser une quête à ma connaissance.

J’ai vraiment apprécié mon expérience sur *New World : Aeternum*. Après quelques heures de jeu, j’ai découvert un système de combat plaisant, des quêtes bien conçues et une île magnifique, bien que marquée par un peu trop de déplacements à pied. Je me suis déconnecté du jeu avec une impression globalement positive ! Cependant, je n’ai pas encore eu l’occasion d’explorer l’autre facette d’Aeternum : son aspect massivement multijoueur, ce qui est crucial, car la communauté de joueurs peut faire ou défaire l’expérience, en fonction des outils mis à leur disposition.