Evil Diary, le dernier titre d’Angelo Gamedev et 9 Ratones, arrive aujourd’hui !
Evil Diary vous emmène dans une année 1997 alternative, dans laquelle, trois ans auparavant, des extraterrestres ont attaqué la Terre et complètement détruit New York. Les armes transformaient la plupart des humains et des animaux en créatures assoiffées de sang. Vous incarnez Eve, une survivante qui tente de se frayer un chemin à travers les monstres pour atteindre l’une des zones de protection. Les émotions et les pensées, ainsi que l’histoire en général, sont principalement racontées dans les pages du journal d’Eve entre les niveaux individuels. Ceux-ci contiennent souvent beaucoup d’humour et sont largement suffisants pour le jeu court.
Vous devez vous frayer un chemin à travers plusieurs zones linéaires. Dans chaque niveau, vous avez un chemin de gauche à droite, avec des mutants affluant vers vous des deux côtés. Les armes dont vous disposez sont une épée et une arme extraterrestre avec des munitions infinies mais un chargeur de 16 cartouches. Les différents mutants ont des capacités différentes et peuvent résister à plusieurs niveaux de stress. Tandis que certains se contentent de courir d’un côté à l’autre, d’autres se font exploser lorsqu’ils arrivent en vue, d’autres encore vous poursuivent directement, tandis que d’autres encore volent à travers l’écran. Pour terminer le niveau, vous devez généralement éliminer un certain nombre d’ennemis ou appeler un ascenseur et ensuite survivre pendant un certain temps. De temps en temps, lorsque les ennemis meurent, ils laissent derrière eux des objets que vous pouvez utiliser pour tuer les autres ennemis plus rapidement.
Evil Diary impressionne par son magnifique look pixelisé et coloré. Les ennemis et les niveaux sont très variés et ont un certain degré de détail.
La musique du jeu est pleine d’action et est parfaitement adapté à la rapidité du jeu et à son thème.
Evil Diary est court, mais est tout de même très amusant. Il se joue rapidement, a l’air élégant et possède une très bonne bande-son. L’histoire n’est pas très complexe, mais il y a un certain humour.
No responses yet